Allons attrapper le soleil
Journée divine. Le soleil. Partout. Dans le ciel comme dans mon esprit, sur mes lèvres. Je n'ai pas extrêmement envie de la décrire sous toutes les coutures, juste, peut-être, de taper quelques mots, comme en guise de pense-bête...
Je sens une petite rivalité qui naît entre Jude et moi, lorsque nous parlons à Chuck. Lorsque nous parlons à des garçons en général. Comme si elle souhaitait s'accaparer leur attention, celle de Chuck tout particulièrement. Cela m'agace vraiment, me rendait jalouse. Aujourd'hui, je suis parvenue à en faire plus ou moins abstraction, et je dois dire que cela m'a fait beaucoup de bien... Plus légère.
Faire les mots croisés de Vingt Minutes et de Métro, à trois mains (celles de Jude, Chuck et moi), et parvenir à remplir les deux grilles en entier... Facilité agréable pour Vingt Minutes, fierté pour Métro, qui bien souvent fait appel à de la culture, euh, comme dire... même pas générale, tant elle est pointue (vous le connaissez, vous, le nom d'une tribu bergère de Turquie, le composant n° 21 en chimie, et l'appelation par laquelle on désigne une loi coranique??)
En amphi d'Audition, je bavarde avec Charlène... Quand soudain, le prof se tourne vers moi et me demande :
"Oui, donc, j'ai oublié la formule, que cherche-t-on, déjà?"
Et je réponds illico à la question, sans faute. Bluffé, le prof, avec un grand sourire :
"Ah, eh bien, si vous suivez, alors il n'y a pas de problème..."
Lucas, un blond aux yeux bleus incroyables, très sympa, copain de Jude et un peu de Charlène, se tourne vers moi et me sourit :
"Ils ont de la chance, les gens qui arrivent à se dédoubler, et qui arrivent à discuter tout en écoutant!"
Bon, j'avoue, c'était un peu un coup de chance...
Mais tout de même, p'tite fierté.
Ce soleil qui inonde tout, dans l'immmense cour, aérée, immense, mais chaleureuse.
A midi, jouer les "djeun's", en mettant des chaises en plein milieu de la cour, pour s'affaler en posant tous les pieds sur une, au centre. En vrac, pêle-mêle, entre deux arrivées et trois départs, il y a Jude, Chuck, Romain, Raphaël, Charlène, Lucas, Jonathan, un garçon sympa avec lequel j'ai sympathisé depuis quelques jours (qui me lance des regards...??), Federico, qui est aussi au conservatoire avec moi, tous là...
La tête renversée en arrière pour se gorger de soleil, qui nous parrait tellement irréel, tant il recouvre tout l'espace autour de nous. Cette cour est si grande, qu'à chaque fois que je la travers, j'ai l'impression de passer le seuil d'une porte ouverte sur un autre monde. Sur une immense sphère de liberté qui souffle contre ma peau.
Et discuter, de tout, de rien, de la musique, de l'aïkido, des sandwichs, du conservatoire, des concerts, de la mode des jeans "prédéchirés", des dessins animés de notre enfance, des Musclés qui étaient tout de même plus fun que cette pauvre Princesse Sarah, hein?
Des plaisanteries fusent, la conversation prend parfois un tour surréaliste, j'aime ça, cet échange où chacun semble heureux, empli d'une sérénité qui donne envie d'être plaisant, de plaire, d'être bien, d'être naturel, surtout.
Oui, on est bien, là, une dizaine, une demie-douzaine selon les moments, à être tous ensemble, en petit cercle un peu bordélique, à converser, à savourer le temps qui passe et ne revient pas, mais qu'est-ce qu'on s'en fout, puisqu'on vit, on vit, on se laisse vivre au gré des rayons du soleil, et des allées et venues des gens.
Un amphi passionnant, les exemples musicaux si beaux, la musique m'emplit une fois de plus le corps et l'esprit, je me laisser énivrer...
Une douce langueur monte en moi, le solei tape sur ma nuque, et je ferme les yeux. Les voix s'entremêlent, le chant s'élève et les accords de clavecins s'apposent peu à peu. Stabat Mater de Charpentier, jouissance de l'écoute.
A la pause, nous descendons tous, en t-shirt, sans manteaux, sans gants ni écharpes, libres. Nul n'est engoncé dans un pull qui lui remonte jusqu'au cou, personne ne ressemble plus à un petit pingoin dont les épaules atteignent ses oreilles, tant il fait froid.
Non.
Soleil, soleil!
Je vois Pierre, l'étudiant en philo, qui me fait signe à l'autre bout de la cour, je le rejoins, nous discutons, j'ai plaisir à le retrouver après une semaine. Je croise le regard de Raphaël qui lève les yeux aux ciel en plaisantant, comme s'il me disait par leur biais : "Ahlala, celle-là, toujours avec un garçon... Peut pas s'empêcher..." Ce regard me fait rire et m'agace à la fois, de quoi se permet-il, celui-là? Il est parfois un peu distant avec moi -ce qui est compréhensible, difficile de garder un contact "normal" après une rupture-, me lançant quelques piques parfois, puis se montrant plus gentil soudain. Là, qu'il me lance à chaque fois que je parle avec un garçon, un regard un peu moqueur me fait rire, mais m'irrite de plus en plus... Lui fais-je une remarque, moi, lorsque l'on lui parle de sa nouvelle copine? C'est comme si par cela, il montrait qu'il avait encore un peu de droit sur moi. Et je n'aime pas ça.
Mais peu importe, Pierre et moi discutons, et c'est chouette.
Ceux qui lézardaient au soleil à midi se retrouvent dans la cour, un ami de Charlène frime pour de faux avec des lunettes de fille, la "cible" de Jude s'amuse aussi en feignant de s'escrimer à compresser une canette d'Orangina, on ne dit rien d'essentiel, mais peu importe, le solei est là, et il comble tous les hypothétiques vides. Le sourire qui passe, le courant qui circule.
Et puis, une après-midi qui s'achève drôlement bien.
Avec Charlène, Pierre, et l'Américain (qui en fait est Ulkrainien, mais à vécu dix ans aux States -j'aime bien dire States, ça fait vraiment "celle-qui-frime-à-mort"-, fraîchement arrivé en France), nous allons jusqu'au Luxembourg, petite virée à travers les métros et Rer.
On raconte n'importe quoi, on délire, une vraie complicité avec Pierre, l'Américain qui me regarde en coin, et Charlène qui se lâche et devient vraiment chaleureuse. Je me sens bien, pour une fois, il n'y a pas cette compétition qu'il y a parfois avec Jude (quelque fois avec Charlène), et dont j'avais déjà parlé plus haut.
Pierre qui me parle en se penchant vers moi, ses yeux noirs, très noirs, son charme et sa culture. Je sais qu'il a une copine, qu'il semble amoureux, mais peu m'importe, je partage cette complicité qui s'instaure, cette envie de découvrir l'autre.
Charlène va rejoindre son copain au Luxembourg, l'Américain va chercher ses livres chez Gilbert Joseph, et Pierre m'embarque au café : "Allez, viens, ça sera fun, je vais t'emmener boire une Guiness!" (ah oui, il faut que je rappelle que je n'aime pas du tout l'alcool, et que Pierre et l'Américain avaient plaisanté avec moi sur ce "non-goût", et que l'Américain avait crié aux grands dieux : "Quoiw, le bon vin fwançais, tuw n'aimes pas çaw?!!")
On se pose juste à côté, dans son QG, et c'est parti pour deux heures de discussion, qui vont durer au point de me faire oublier mon cours de piano...
Nous nous découvrons un nombre ahurissant de points communs, de passions partagées, des idées qui convergent, des sens de la métaphore, la passion des mots, le besoin de mettre au clair par la parole. Il comprend, il comprend, c'est fou, c'est génial, et en même temps si normal, la simplicité et l'évidence du moment.
La fac, les gens, l'amour, la vie, la séduction, l'attirance, sa copine, Raphaël, tout ça mêlé dans une conversation prenante, relevée, agréable. Et quelque chose qui me ravit : il comprend parfaitement la notion d'attente. Aimer, c'est savoir attendre. C'est ne pas vouloir tout, tout de suite. C'est apprendre ce désir en sourdine, cette patience particulière où chacun se découvre peu à peu, sans le dire, à demi-mots, juste par les yeux et les non-dits, par les suggérés et les phrases dites commes par hasard... Il comprend cela, il aime cela.
J'aime bien ce type.
Il sait écouter, je sens qu'il réfléchit aux mots que je dis, et puis aussi, cette spontanéité.
Et surtout, ce... ce pointu. Cette précision et cette imagination.
Je me suis sentie si libre... L'Américain nous a rejoints au bout de trois quarts d'heure, la conversation a continué, toujours aussi animée et personnelle.
Puis, il est temps de reprendre le métro, je le réconforte pour sa copine qu'il vient de quitter, mais pense aimer, on plaisante, je sens le courant qui passe, on parle encore, encore, encore un peu, puis il doit descendre, alors encore quelques mots alors qu'il descend de la rame, et puis les portes se referment :
"C'était bien chouette, cette discussion, on se remet ça?"
Oh que oui.
Je sens une petite rivalité qui naît entre Jude et moi, lorsque nous parlons à Chuck. Lorsque nous parlons à des garçons en général. Comme si elle souhaitait s'accaparer leur attention, celle de Chuck tout particulièrement. Cela m'agace vraiment, me rendait jalouse. Aujourd'hui, je suis parvenue à en faire plus ou moins abstraction, et je dois dire que cela m'a fait beaucoup de bien... Plus légère.
Faire les mots croisés de Vingt Minutes et de Métro, à trois mains (celles de Jude, Chuck et moi), et parvenir à remplir les deux grilles en entier... Facilité agréable pour Vingt Minutes, fierté pour Métro, qui bien souvent fait appel à de la culture, euh, comme dire... même pas générale, tant elle est pointue (vous le connaissez, vous, le nom d'une tribu bergère de Turquie, le composant n° 21 en chimie, et l'appelation par laquelle on désigne une loi coranique??)
En amphi d'Audition, je bavarde avec Charlène... Quand soudain, le prof se tourne vers moi et me demande :
"Oui, donc, j'ai oublié la formule, que cherche-t-on, déjà?"
Et je réponds illico à la question, sans faute. Bluffé, le prof, avec un grand sourire :
"Ah, eh bien, si vous suivez, alors il n'y a pas de problème..."
Lucas, un blond aux yeux bleus incroyables, très sympa, copain de Jude et un peu de Charlène, se tourne vers moi et me sourit :
"Ils ont de la chance, les gens qui arrivent à se dédoubler, et qui arrivent à discuter tout en écoutant!"
Bon, j'avoue, c'était un peu un coup de chance...
Mais tout de même, p'tite fierté.
Ce soleil qui inonde tout, dans l'immmense cour, aérée, immense, mais chaleureuse.
A midi, jouer les "djeun's", en mettant des chaises en plein milieu de la cour, pour s'affaler en posant tous les pieds sur une, au centre. En vrac, pêle-mêle, entre deux arrivées et trois départs, il y a Jude, Chuck, Romain, Raphaël, Charlène, Lucas, Jonathan, un garçon sympa avec lequel j'ai sympathisé depuis quelques jours (qui me lance des regards...??), Federico, qui est aussi au conservatoire avec moi, tous là...
La tête renversée en arrière pour se gorger de soleil, qui nous parrait tellement irréel, tant il recouvre tout l'espace autour de nous. Cette cour est si grande, qu'à chaque fois que je la travers, j'ai l'impression de passer le seuil d'une porte ouverte sur un autre monde. Sur une immense sphère de liberté qui souffle contre ma peau.
Et discuter, de tout, de rien, de la musique, de l'aïkido, des sandwichs, du conservatoire, des concerts, de la mode des jeans "prédéchirés", des dessins animés de notre enfance, des Musclés qui étaient tout de même plus fun que cette pauvre Princesse Sarah, hein?
Des plaisanteries fusent, la conversation prend parfois un tour surréaliste, j'aime ça, cet échange où chacun semble heureux, empli d'une sérénité qui donne envie d'être plaisant, de plaire, d'être bien, d'être naturel, surtout.
Oui, on est bien, là, une dizaine, une demie-douzaine selon les moments, à être tous ensemble, en petit cercle un peu bordélique, à converser, à savourer le temps qui passe et ne revient pas, mais qu'est-ce qu'on s'en fout, puisqu'on vit, on vit, on se laisse vivre au gré des rayons du soleil, et des allées et venues des gens.
Un amphi passionnant, les exemples musicaux si beaux, la musique m'emplit une fois de plus le corps et l'esprit, je me laisser énivrer...
Une douce langueur monte en moi, le solei tape sur ma nuque, et je ferme les yeux. Les voix s'entremêlent, le chant s'élève et les accords de clavecins s'apposent peu à peu. Stabat Mater de Charpentier, jouissance de l'écoute.
A la pause, nous descendons tous, en t-shirt, sans manteaux, sans gants ni écharpes, libres. Nul n'est engoncé dans un pull qui lui remonte jusqu'au cou, personne ne ressemble plus à un petit pingoin dont les épaules atteignent ses oreilles, tant il fait froid.
Non.
Soleil, soleil!
Je vois Pierre, l'étudiant en philo, qui me fait signe à l'autre bout de la cour, je le rejoins, nous discutons, j'ai plaisir à le retrouver après une semaine. Je croise le regard de Raphaël qui lève les yeux aux ciel en plaisantant, comme s'il me disait par leur biais : "Ahlala, celle-là, toujours avec un garçon... Peut pas s'empêcher..." Ce regard me fait rire et m'agace à la fois, de quoi se permet-il, celui-là? Il est parfois un peu distant avec moi -ce qui est compréhensible, difficile de garder un contact "normal" après une rupture-, me lançant quelques piques parfois, puis se montrant plus gentil soudain. Là, qu'il me lance à chaque fois que je parle avec un garçon, un regard un peu moqueur me fait rire, mais m'irrite de plus en plus... Lui fais-je une remarque, moi, lorsque l'on lui parle de sa nouvelle copine? C'est comme si par cela, il montrait qu'il avait encore un peu de droit sur moi. Et je n'aime pas ça.
Mais peu importe, Pierre et moi discutons, et c'est chouette.
Ceux qui lézardaient au soleil à midi se retrouvent dans la cour, un ami de Charlène frime pour de faux avec des lunettes de fille, la "cible" de Jude s'amuse aussi en feignant de s'escrimer à compresser une canette d'Orangina, on ne dit rien d'essentiel, mais peu importe, le solei est là, et il comble tous les hypothétiques vides. Le sourire qui passe, le courant qui circule.
Et puis, une après-midi qui s'achève drôlement bien.
Avec Charlène, Pierre, et l'Américain (qui en fait est Ulkrainien, mais à vécu dix ans aux States -j'aime bien dire States, ça fait vraiment "celle-qui-frime-à-mort"-, fraîchement arrivé en France), nous allons jusqu'au Luxembourg, petite virée à travers les métros et Rer.
On raconte n'importe quoi, on délire, une vraie complicité avec Pierre, l'Américain qui me regarde en coin, et Charlène qui se lâche et devient vraiment chaleureuse. Je me sens bien, pour une fois, il n'y a pas cette compétition qu'il y a parfois avec Jude (quelque fois avec Charlène), et dont j'avais déjà parlé plus haut.
Pierre qui me parle en se penchant vers moi, ses yeux noirs, très noirs, son charme et sa culture. Je sais qu'il a une copine, qu'il semble amoureux, mais peu m'importe, je partage cette complicité qui s'instaure, cette envie de découvrir l'autre.
Charlène va rejoindre son copain au Luxembourg, l'Américain va chercher ses livres chez Gilbert Joseph, et Pierre m'embarque au café : "Allez, viens, ça sera fun, je vais t'emmener boire une Guiness!" (ah oui, il faut que je rappelle que je n'aime pas du tout l'alcool, et que Pierre et l'Américain avaient plaisanté avec moi sur ce "non-goût", et que l'Américain avait crié aux grands dieux : "Quoiw, le bon vin fwançais, tuw n'aimes pas çaw?!!")
On se pose juste à côté, dans son QG, et c'est parti pour deux heures de discussion, qui vont durer au point de me faire oublier mon cours de piano...
Nous nous découvrons un nombre ahurissant de points communs, de passions partagées, des idées qui convergent, des sens de la métaphore, la passion des mots, le besoin de mettre au clair par la parole. Il comprend, il comprend, c'est fou, c'est génial, et en même temps si normal, la simplicité et l'évidence du moment.
La fac, les gens, l'amour, la vie, la séduction, l'attirance, sa copine, Raphaël, tout ça mêlé dans une conversation prenante, relevée, agréable. Et quelque chose qui me ravit : il comprend parfaitement la notion d'attente. Aimer, c'est savoir attendre. C'est ne pas vouloir tout, tout de suite. C'est apprendre ce désir en sourdine, cette patience particulière où chacun se découvre peu à peu, sans le dire, à demi-mots, juste par les yeux et les non-dits, par les suggérés et les phrases dites commes par hasard... Il comprend cela, il aime cela.
J'aime bien ce type.
Il sait écouter, je sens qu'il réfléchit aux mots que je dis, et puis aussi, cette spontanéité.
Et surtout, ce... ce pointu. Cette précision et cette imagination.
Je me suis sentie si libre... L'Américain nous a rejoints au bout de trois quarts d'heure, la conversation a continué, toujours aussi animée et personnelle.
Puis, il est temps de reprendre le métro, je le réconforte pour sa copine qu'il vient de quitter, mais pense aimer, on plaisante, je sens le courant qui passe, on parle encore, encore, encore un peu, puis il doit descendre, alors encore quelques mots alors qu'il descend de la rame, et puis les portes se referment :
"C'était bien chouette, cette discussion, on se remet ça?"
Oh que oui.
Inspirations soudaines :
Re:
Moi aussi, je trouve parfois ces similitudes, ces instants évoqués qui me font un peu penser aux miens, dans tes articles.
C'est vrai, le solei ne vient pas que pour éclairer l'extérieur, mais aussi l'intérieur!
Merci pour tes grains de sel ici!
:)
C'est vrai, le solei ne vient pas que pour éclairer l'extérieur, mais aussi l'intérieur!
Merci pour tes grains de sel ici!
:)
Re: ;)
:))
Thank tou very much, Betadine! (t'as vu, je fais mon anglophone, quelle frimeuse, ahlala...)
Ca sent la legereté à plein nez... C'est trop chwette :)
Alors toi aussi tu as rencontré un "zumeau " ? ;)
Enfin.. c'est vrai je n'ai pas pu raconter mon zumeaux...
Sûrement que Broutille va écrire ailleurs dans un endroit secret :) Tu auras l'adresse ;)
Bizouxxx
Alors toi aussi tu as rencontré un "zumeau " ? ;)
Enfin.. c'est vrai je n'ai pas pu raconter mon zumeaux...
Sûrement que Broutille va écrire ailleurs dans un endroit secret :) Tu auras l'adresse ;)
Bizouxxx
Re:
Je dois dire que le printemps me redonne plus que jamais le sourire!
Un "zumeau", je crois bien... Disons que mon jumeau idéal serait un subtil mélange entre Chuck et Pierre... ;)
Chic chic, Broutille continue à écrire! Je veux l'adresse! :))
Un "zumeau", je crois bien... Disons que mon jumeau idéal serait un subtil mélange entre Chuck et Pierre... ;)
Chic chic, Broutille continue à écrire! Je veux l'adresse! :))
Re: Re:
Je ne réécris pas encore.
Je ne peux pas en fait.
J'ai découvert que mon apathie pour la vie vient aussi du fait que j'écris.
Les nouvelles ?
Un homme au prénomde Théo ( meilleur ami..) des amis toujours proche, un voyage en allemagne heureux.
Je vous tiens au courant d'un novueau blog si il existe.
Gros bizoux les filles :)
Je ne peux pas en fait.
J'ai découvert que mon apathie pour la vie vient aussi du fait que j'écris.
Les nouvelles ?
Un homme au prénomde Théo ( meilleur ami..) des amis toujours proche, un voyage en allemagne heureux.
Je vous tiens au courant d'un novueau blog si il existe.
Gros bizoux les filles :)
Cocktail
Ce soleil qui change les envies. Qui boulverse un peu les habitudes, aussi.
Ce ne sont pas les mêmes moments, pourtant les sensations se ressemblent souvent.
C'est marrant.
Voilà, juste quelques petits mots, parce que ça fait plaisir de voir du bonheur fleurir par ici.
Biz'