Je suis un baromètre qui s'affole
Oui, c'est ça, je suis un baromètre qui s'affole.
Tout à l'heure, panique, je ne gère plus rien, tant de choses, lui si libre, et moi si peu, je ne sais plus, j'appelle Kami, un peu déprimée, malgré cet après-midi assez agréable passé lui et moi...
Et maintenant, ça va mieux. Un simple coup de fil me réconforte. Je ne crois pas qu'il appellerait trois fois de suite sans réussir à m'avoir, pour m'avoir la quatrième fois, s'il n'était pas réellement heureux.
Je ne crois pas aux mots en l'air ; je le lui ai dit.
Juste, Raphaël, ne rentre pas trop dans tes mondes d'amitié, tu sais que voir des photos, c'est bien, mais trop longtemps... c'est trop. Même si je comprends ton entousiasme, n'oublie pas l'autre qui est là. C'est tout.
Il faut peut-être que j'apprenne à être moins gentille?...
Mais non.
J'ai aimé, lorsqu'il m'a embrassée longuement dans le noir du couloir de son palier, au sortir de son appartement, tout à l'heure. Je n'aurais pas supporté qu'il allume directement la lumière. Instant parfait.
Juste ses lèvres, ses mains, nous deux, et le noir complet tout autour. Et sa respiration.
Il faut que j'arrive à mieux le cerner. Il faut qu'il sache mieux qui je suis, qu'il m'accepte comme cela, sinon je ne tiendrai pas. Il est si libre, si autonome, si bande à pote... Je ne veux pas qu'il y a ait clash d'emplois du temps. Il faut qu'il me cerne mieux.
Il a déjà des projets. Ca me fait sourire...
J'avais peur, tout à l'heure. Peur de mon désir soudain, troublant, intense, que j'ai eu d'être regardée par Chuck, peur de la confiance totale que j'aie eue en lui, peur de mon envie qu'il me fixe du regard, peur de la joie intérieure que j'aie eu lorsque ses yeux m'ont longuement fixée.
J'aimerais bien, c'est une pensée idiote, je sais, mais les avoir pour moi. Je ne sais pas si le fait qu'il sorte avec Jude me plairait. J'ai été très troublée, tout à l'heure, soudain : mais oui, Chuck est quelqu'un de formidable, est-ce que je ne suis pas allée trop vite avec Raphaël?...
Oh, il faut que j'arrête de trop réfléchir. Comme dirait Kami, tu verras bien, relativise, laisse évoluer, sois sincère, et ça ira bien.
Merci ma Kami, merci, merci, merci, merci, merci, merci, merci, d'être là. Toujours. Je t'aime tellement. Depuis si longtemps. Tu es la seule personne avec laquelle je peux tout dire. Tout. Avec laquelle j'ai eu tant d'exprériences, de fous rires, de tristesses partagées, toutes ces choses faites ensemble. Qu'est-ce que je ferais, sans toi? J'étais émue, tout à l'heure, au téléphone.
J'adore embrasser Raphaël.
Tout à l'heure, panique, je ne gère plus rien, tant de choses, lui si libre, et moi si peu, je ne sais plus, j'appelle Kami, un peu déprimée, malgré cet après-midi assez agréable passé lui et moi...
Et maintenant, ça va mieux. Un simple coup de fil me réconforte. Je ne crois pas qu'il appellerait trois fois de suite sans réussir à m'avoir, pour m'avoir la quatrième fois, s'il n'était pas réellement heureux.
Je ne crois pas aux mots en l'air ; je le lui ai dit.
Juste, Raphaël, ne rentre pas trop dans tes mondes d'amitié, tu sais que voir des photos, c'est bien, mais trop longtemps... c'est trop. Même si je comprends ton entousiasme, n'oublie pas l'autre qui est là. C'est tout.
Il faut peut-être que j'apprenne à être moins gentille?...
Mais non.
J'ai aimé, lorsqu'il m'a embrassée longuement dans le noir du couloir de son palier, au sortir de son appartement, tout à l'heure. Je n'aurais pas supporté qu'il allume directement la lumière. Instant parfait.
Juste ses lèvres, ses mains, nous deux, et le noir complet tout autour. Et sa respiration.
Il faut que j'arrive à mieux le cerner. Il faut qu'il sache mieux qui je suis, qu'il m'accepte comme cela, sinon je ne tiendrai pas. Il est si libre, si autonome, si bande à pote... Je ne veux pas qu'il y a ait clash d'emplois du temps. Il faut qu'il me cerne mieux.
Il a déjà des projets. Ca me fait sourire...
J'avais peur, tout à l'heure. Peur de mon désir soudain, troublant, intense, que j'ai eu d'être regardée par Chuck, peur de la confiance totale que j'aie eue en lui, peur de mon envie qu'il me fixe du regard, peur de la joie intérieure que j'aie eu lorsque ses yeux m'ont longuement fixée.
J'aimerais bien, c'est une pensée idiote, je sais, mais les avoir pour moi. Je ne sais pas si le fait qu'il sorte avec Jude me plairait. J'ai été très troublée, tout à l'heure, soudain : mais oui, Chuck est quelqu'un de formidable, est-ce que je ne suis pas allée trop vite avec Raphaël?...
Oh, il faut que j'arrête de trop réfléchir. Comme dirait Kami, tu verras bien, relativise, laisse évoluer, sois sincère, et ça ira bien.
Merci ma Kami, merci, merci, merci, merci, merci, merci, merci, d'être là. Toujours. Je t'aime tellement. Depuis si longtemps. Tu es la seule personne avec laquelle je peux tout dire. Tout. Avec laquelle j'ai eu tant d'exprériences, de fous rires, de tristesses partagées, toutes ces choses faites ensemble. Qu'est-ce que je ferais, sans toi? J'étais émue, tout à l'heure, au téléphone.
J'adore embrasser Raphaël.
Inspirations soudaines :
Re: ne t'affolle pas....
Hello! Je viens de m'apercevoir de quelque chose : à chaque fois que tu as laissé un commentaire, je n'ai aps répondu!! Je n'avais pas du tout fait exprès, c'est juste que quelque fois, j'oublie de répondre... Alors, je rattrappe mon retard, parce que je sais qu'on aime bien avoir des réponses aux comm' qu'on dépose...
Hum, visiblement, là, le choix a été fait... Puisqu'avec Raphaël, c'est fini.
Je verrai bien comment ça évolue...
Bizz à toi!
Hum, visiblement, là, le choix a été fait... Puisqu'avec Raphaël, c'est fini.
Je verrai bien comment ça évolue...
Bizz à toi!
indrae
ne t'affolle pas....