Criarde
Connasse maniaque hystérique susceptible maniaque, maniaque, maniaque!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu m'énerves, tu m'agaces, tes petits tendons du cou qui transparaissent soudain sous ta peau distendue,
vieux dindon, pie qui braille, "et puis tu as dit ceci et je n'aime pas cela car vraiment tu es trop comme ça lorsque tu es..."
Ton petit ton sec, court, soudain, ta bouche qui se pince en cul de poule, ta main qui tapote tes lèvres, ton regard dur et droit, ailleurs, qui ne me regarde surtout pas pour m'abaisser, au qui au contraire se plante entre mes deux yeux, pour m'écraser
Pour toi tout fait trop, au bout d'un moment, tu observes tout, tu remarques tout, au bout d'un moment, tu enregistres tout, tu en dégages toujours des conclusions, tu absorbes tout, et tu déverses tout, au bout d'un moment.
Tu as trop de mémoire, trop de fibrilles qui courent partout, maniaque, maniaque, maniaque
Tu n'as pas aimé ta mère, tu as peur d'elle, et parfois je sens toute la dureté qu'elle t'a transmise, toute la dureté dont tu t'enveloppes en me parlant, et tu vomis tes mots, même pas les uns après les autre, non, les uns dans les autres, emmêlés, enrobés de ton accusation, enduits de ta colère infinnissable et sèche, et criante, et hurlante
A ce moment-là, tu n'es pas une mère, tu es du bruit, tu crois utiliser les mots, mais tu les uses. Tu crois les usiter, les user, mais tu les uses, tu les uses par ton ton fatigant, infatigable, tu les uses, tu les enlaidis par l'utilisation que tu en fais, tout devient énorme, important, la signification du mot en devient presque immonde tant tu l'exagères, tant tu la boursoufles
Tais toi
Tais-toi
Tu m'énerves, tu m'agaces, tes petits tendons du cou qui transparaissent soudain sous ta peau distendue,
vieux dindon, pie qui braille, "et puis tu as dit ceci et je n'aime pas cela car vraiment tu es trop comme ça lorsque tu es..."
Ton petit ton sec, court, soudain, ta bouche qui se pince en cul de poule, ta main qui tapote tes lèvres, ton regard dur et droit, ailleurs, qui ne me regarde surtout pas pour m'abaisser, au qui au contraire se plante entre mes deux yeux, pour m'écraser
Pour toi tout fait trop, au bout d'un moment, tu observes tout, tu remarques tout, au bout d'un moment, tu enregistres tout, tu en dégages toujours des conclusions, tu absorbes tout, et tu déverses tout, au bout d'un moment.
Tu as trop de mémoire, trop de fibrilles qui courent partout, maniaque, maniaque, maniaque
Tu n'as pas aimé ta mère, tu as peur d'elle, et parfois je sens toute la dureté qu'elle t'a transmise, toute la dureté dont tu t'enveloppes en me parlant, et tu vomis tes mots, même pas les uns après les autre, non, les uns dans les autres, emmêlés, enrobés de ton accusation, enduits de ta colère infinnissable et sèche, et criante, et hurlante
A ce moment-là, tu n'es pas une mère, tu es du bruit, tu crois utiliser les mots, mais tu les uses. Tu crois les usiter, les user, mais tu les uses, tu les uses par ton ton fatigant, infatigable, tu les uses, tu les enlaidis par l'utilisation que tu en fais, tout devient énorme, important, la signification du mot en devient presque immonde tant tu l'exagères, tant tu la boursoufles
Tais toi
Tais-toi