Hmmm, Prince Choco, c'est bon, ouhlala
Ouaaaah. J'ai mangé trop de Princes tout choco. Les "tout choco", ils ont un goût de grillé un peu bizarre, on sent carrément moins le chocolat que dans les pas "tout choco". Bizarre, de créer des "tout choco" moins chocolatés que les pas "tout choco".
J'ai parfois des réflexions formidables.
Hey, noble chevalier, your belle au bois dormant is happy in ce moment.
Je parle vraiment magnifiquement bien anglais.
Deuxième réflexion formidable de cet article ; il y a des jours où je m'auto-épate. Je m'auto épatate, je m'auto-eh, patate! Hahaha, j'ai un humour dément.
...
Bon...
C'est curieux comme les gens ont parfois mille et une facettes, et peuvent s'avérer insaisissables, alors qu'on les trouvait limpides, et vice-versa. Je pense à Chuck, par exemple. Il est si complexe, parfois très jeune d'esprit. C'est étrange, il est une sorte de paradoxe vivant, très doué, mais parfois assez immature.
Je tiens à dire que mon attirance vague pour lui, l'éventuel trouble que je pouvais avoir, n'a plus lieu d'être. Il y a pu y avoir confusion, mais ce n'est plus à l'ordre du jour.
Tiens, jeudi, je passe la soirée avec mon monsieur, j'ai hâte, il faut bien le dire... Dire que l'on ne va pas se voir durant deux semaines, pendant toutes les vacances de Noël... Il m'avait invitée chez lui, en Bretagne, mais mes parents tiennent absolument à partir, et mon père n'était pas très chaud pour cette idée... Ca m'a terriblement déçue. Mais passons, bref. Il ne sert plus à rien de demander encore, je risque de me faire rembarrer encore plus.
Ce que j'aime, chez lui, c'est qu'il a une façon de trouver l'imprévu, il sait trouver la tournure fine, le petit mot juste qui me fera plaisir... Beau parleur, je ne pense pas. Non. Disons qu'il sait dénicher la petite expression qui correspond tout à fait à ce qu'il pense, à l'instant même.
Comme il le dit, ça n'est pas plus mal que nous n'ayons pas attendu, que notre histoire aie commencé quelques jours à peine après que nous nous soyons connus : comme ça, nous ne nous sommes pas idéalisés l'un l'autre, et la complicité à tout de suite commencé. A vrai dire, j'avais regretté, la 1e semaine, de ne pas avoir connu cette attente délicieuse de l'autre, où même le sûr reste incertain, puisque tout est dans le non-dit, dans le suggéré.
Mais à présent, je ne regrettepresque plus. J'ai la sensation que cela se renforce au fil du temps, et qu'une réelle complicitié s'instaure.
Enfin, je n'aime pas parler trop vite. Cela fait... 3 semaines? Un peu moins? Un peu plus? Oups, je ne sais déjà plus compter... Ca fera un mois le 11 décembre.
Oh, je ne sais plus si je l'ai dit, mais avec Kami, on s'est fait vendredi soir une série de photos complètement dingues, c'était formidable! J'adore les moments comme ça, où tout en bavardant de choses personnelles et "sérieuses", on peut complètement déconner en faisant n'importe quoi, en retombant presque en enfance, avec ces photos.
Photos et courtes vidéos faites avec mon appareil numérique, sur lesquelles, euh, on imite un documentaire d'Arte sur les indiens Péruviens, sur lesquelles nous sommes Samantha et Stessie, et où je dis d'un air ultra naturel : "Salut, j'ai une grosse poitrine, et toi?", sur lesquelles Kami se fout des babouches sur les oreilles, et où j'ai l'air d'une souris en imitant Yudu ("Ben oui, Yudu, c'est comme Yoda, mais avec un u"), hum...
Après ces photos-trash (pour reprendre l'expression favorite de Raphaël), on essaie de faire de "belles" photos... Ouah... Je ne sais pas si l'expression de Yoda m'est restée sur la figure, et si Kami était encore influencée par l'état d'esprit Péruvien, mais on a de ces gueules... C'est assez formidable...
Dommage que je n'aie pas envie de dire qui est ce vrai "moi" qui se cache derrière Feu, parce que je suis sûre que même en ne me connaissant pas, ça vous ferait hurler de rire... Je ris rien qu'en l'écrivant...
Tiens, deviendrais-je une adepte des points de suspension?...
Ouhlala, il faut que je bosse! (j'ai ENCORE failli mettre des "..." !)
Tchaô tchaô tutto il mondo (je ne sais même pas si on dit comme ça en italien),
Benenuto in Italia, vorei un succo di albicocca, per favor
(pour les nuls qui ne sont pas bilingues comme moi en italien (avec Allemand LV1 et Anglais LV2, j'ai vachement fait d'Italien... C'est pas demain la veille que je parlerai comme Rocco Siffredi)(euh, en terme de références italiennes, on fait mieux, donc je change : ce n'est pas demain la veille que je parlerai comme... Carlo Mastroianni)(c'est déjà mieux, non?), donc, je disais : pour les nuls non-bilingues italien, c'est-à-dire comme moi, ça veut dire : Bienvenue en Italie, je voudrais un jus d'abricot s'il-vous-plaît. On remarquera que c'est la seule phrase que je prononçais en Italie........)
Je commence à raconter n'importe quoi, cet article est d'une anarchie totale...
J'ai parfois des réflexions formidables.
Hey, noble chevalier, your belle au bois dormant is happy in ce moment.
Je parle vraiment magnifiquement bien anglais.
Deuxième réflexion formidable de cet article ; il y a des jours où je m'auto-épate. Je m'auto épatate, je m'auto-eh, patate! Hahaha, j'ai un humour dément.
...
Bon...
C'est curieux comme les gens ont parfois mille et une facettes, et peuvent s'avérer insaisissables, alors qu'on les trouvait limpides, et vice-versa. Je pense à Chuck, par exemple. Il est si complexe, parfois très jeune d'esprit. C'est étrange, il est une sorte de paradoxe vivant, très doué, mais parfois assez immature.
Je tiens à dire que mon attirance vague pour lui, l'éventuel trouble que je pouvais avoir, n'a plus lieu d'être. Il y a pu y avoir confusion, mais ce n'est plus à l'ordre du jour.
Tiens, jeudi, je passe la soirée avec mon monsieur, j'ai hâte, il faut bien le dire... Dire que l'on ne va pas se voir durant deux semaines, pendant toutes les vacances de Noël... Il m'avait invitée chez lui, en Bretagne, mais mes parents tiennent absolument à partir, et mon père n'était pas très chaud pour cette idée... Ca m'a terriblement déçue. Mais passons, bref. Il ne sert plus à rien de demander encore, je risque de me faire rembarrer encore plus.
Ce que j'aime, chez lui, c'est qu'il a une façon de trouver l'imprévu, il sait trouver la tournure fine, le petit mot juste qui me fera plaisir... Beau parleur, je ne pense pas. Non. Disons qu'il sait dénicher la petite expression qui correspond tout à fait à ce qu'il pense, à l'instant même.
Comme il le dit, ça n'est pas plus mal que nous n'ayons pas attendu, que notre histoire aie commencé quelques jours à peine après que nous nous soyons connus : comme ça, nous ne nous sommes pas idéalisés l'un l'autre, et la complicité à tout de suite commencé. A vrai dire, j'avais regretté, la 1e semaine, de ne pas avoir connu cette attente délicieuse de l'autre, où même le sûr reste incertain, puisque tout est dans le non-dit, dans le suggéré.
Mais à présent, je ne regrette
Enfin, je n'aime pas parler trop vite. Cela fait... 3 semaines? Un peu moins? Un peu plus? Oups, je ne sais déjà plus compter... Ca fera un mois le 11 décembre.
Oh, je ne sais plus si je l'ai dit, mais avec Kami, on s'est fait vendredi soir une série de photos complètement dingues, c'était formidable! J'adore les moments comme ça, où tout en bavardant de choses personnelles et "sérieuses", on peut complètement déconner en faisant n'importe quoi, en retombant presque en enfance, avec ces photos.
Photos et courtes vidéos faites avec mon appareil numérique, sur lesquelles, euh, on imite un documentaire d'Arte sur les indiens Péruviens, sur lesquelles nous sommes Samantha et Stessie, et où je dis d'un air ultra naturel : "Salut, j'ai une grosse poitrine, et toi?", sur lesquelles Kami se fout des babouches sur les oreilles, et où j'ai l'air d'une souris en imitant Yudu ("Ben oui, Yudu, c'est comme Yoda, mais avec un u"), hum...
Après ces photos-trash (pour reprendre l'expression favorite de Raphaël), on essaie de faire de "belles" photos... Ouah... Je ne sais pas si l'expression de Yoda m'est restée sur la figure, et si Kami était encore influencée par l'état d'esprit Péruvien, mais on a de ces gueules... C'est assez formidable...
Dommage que je n'aie pas envie de dire qui est ce vrai "moi" qui se cache derrière Feu, parce que je suis sûre que même en ne me connaissant pas, ça vous ferait hurler de rire... Je ris rien qu'en l'écrivant...
Tiens, deviendrais-je une adepte des points de suspension?...
Ouhlala, il faut que je bosse! (j'ai ENCORE failli mettre des "..." !)
Tchaô tchaô tutto il mondo (je ne sais même pas si on dit comme ça en italien),
Benenuto in Italia, vorei un succo di albicocca, per favor
(pour les nuls qui ne sont pas bilingues comme moi en italien (avec Allemand LV1 et Anglais LV2, j'ai vachement fait d'Italien... C'est pas demain la veille que je parlerai comme Rocco Siffredi)(euh, en terme de références italiennes, on fait mieux, donc je change : ce n'est pas demain la veille que je parlerai comme... Carlo Mastroianni)(c'est déjà mieux, non?), donc, je disais : pour les nuls non-bilingues italien, c'est-à-dire comme moi, ça veut dire : Bienvenue en Italie, je voudrais un jus d'abricot s'il-vous-plaît. On remarquera que c'est la seule phrase que je prononçais en Italie........)
Je commence à raconter n'importe quoi, cet article est d'une anarchie totale...
Inspirations soudaines :
Tu ne changes pas!!!
Et c'est exellent, connais tout les bouquins ( juste pour le fun, quand tu veux lire sans reflechir)
Le journal de Georgia Nicholson??? c'est a mourir de rire, elle a souvent des expression dans ton genre!! Smouctch!!!
Le journal de Georgia Nicholson??? c'est a mourir de rire, elle a souvent des expression dans ton genre!! Smouctch!!!
Re: Tu ne changes pas!!!
Oui, j'ai lu Georgia Nicholson, et j'ai du m'esclaffer un bon nombre de fois devant ses péripéties...
Merci de la comparaison, en tout cas!
Bizzz!
Merci de la comparaison, en tout cas!
Bizzz!
Antigone