Ici s'éteint tout doucement. Sans bruit. Juste comme la flamme d'un bec de gaz que l'on baisse lentement, par un petit geste du bout des doigts.
Je sens les mots qui partent ailleurs. Ou qui ne parviennent plus à vivre ici.
Plus l'envie de dire, de décrire, d'expliquer, ou simplement de suggérer, d'évoquer, même. Comme si les simples quelques mots que je pouvais déposer étaient déjà de trop.
Alors, voilà. Je crois qu'il est temps de mettre le point final. Final, c'est peut-être un grand mot, comme le dit le proverbe, il ne faut jamais dire jamais. Jamais plus, en l'occurrence.
Non, c'est juste… qu'aujourd'hui, l'envie me quitte peu à peu. Cela faisait déjà un certain temps. Peut-être parce que, comme je le pense depuis longtemps, et comme j'ai eu l'occasion de le voir et lire ailleurs, la vie est ailleurs. Autre part que devant cet écran. Que dans les mots que l'on tisse pour d'autres yeux, aussi. Même si.
Même si. Même si les moments que j'ai passés à écrire pour cet endroit m'ont beaucoup apporté, même si le plaisir d'être lue, comprise, même si la complicité parfois tissée au gré des écrits, même si le bonheur des mots, même si tout cela.
Simplement, je choisis de garder tout cela pour moi.
Il fallait bien qu'un jour, cela arrive, non ?... Question qui n'attend pas de réponse, puisque je l'ai choisie moi-même.
Si je me tiens à cette décision, j'aurai accompli le n°60, parmi mes cent choses à faire en mille jours…
Il n'y a pas de pourquoi, ni de parce que. Simplement, c'est comme ça. Phil y est peut-être un peu pour quelque chose. Mais surtout, c'est l'évolution de ma vie, de mon cheminement, ces derniers mois. Cet apaisement, peu à peu. Cette confiance.
Nous y voici donc.
J'aurai eu un immense plaisir à écrire ici. Cet endroit qui, au fil des mois, m'est devenu cher. Malgré le désir, quelques fois, de tout arrêter, d'abandonner pour ne plus reparaître. Cependant, à chaque fois, l'envie - je choisis mes mots, et ne parle pas de volonté, mais bien d'envie, comme quelque chose qui ne dépend pas vraiment de la raison, mais plus de l'impulsion - de continuer, d'écrire, était plus forte.
Merci à tous ceux qui seront passés par cet endroit, et auront tendu l'oreille - je devrais sans doute dire les yeux - à mes mots.
C'est étrange, je suis prise d'une certaine émotion en écrivant ces derniers mots ici. Quoique, je ne crois pas que ce soit si étrange.
Comme une porte que l'on scelle.
Une petite fêlure douce et agréable, quelque chose qui tire un peu de l'intérieur, mais qui fait sourire tout de même. Je me rappelle ce que j'avais écrit un jour : « J'ai la nostalgie paradoxale des instants à venir ».
Je crois que j'ai déjà la nostalgie d'ici.
Alors, ça y est.
Le rideau s'abaisse, doucement. Mais sûrement.
Ciao, tutto il mondo.
Inspirations soudaines :
Re:
Merci très cher Manzin! Tiens, d'ailleurs, je vais y bientôt y répondre, à ton mail, promis. C'est juste que je me suis fait un bon petit sevrage d'internet, cette semaine, et ceci associé au peu de temps dont je dispose actuellement... (madame la ministrette, toujours!)
Mais tu sais, même si je n'écris plus, je reste dans le coin... Je passerai toujours chez vous tous, chez toi, pour suivre tes palpitantes aventures avec toujours autant de plaisir!
Moi aussi, j'ai été contente de connaître, Zinzin ;). Non seulement un garçon, ce qui est rare, sur joueb, mais un garçon chouette! (waaah, les pots de bégonias que je t'envoie)
Sur ce, je te dis : read you soon, mister Manzin!
Tiens.
A croire que peu de monde parvient finalement à ne pas se lasser. Ca et là, depuis que je lis les blogs, ça ne fait pas si longtemps que cela, les gens s'en vont. Parfois, c'est seulement pour un ailleurs. Comme s'ils ne parvenaient pas à se fixer à une place, la fidélité d'un lieu... Et bizarrement, je me disais que toi, ça faisait plus d'un an que tu te cantonnais (plus ou moins) à ce Joueb de Feu, et il y avait une espèce de fierté qui apparaissait comme ça. J'étais contente de me dire que peu importe l'endroit, ce qui compte c'est écrire.
Alors bon, je pense que tu le sais. Je te souhaite de continuer les phrases, et entretenir ta plume autant que tu le pourras, ce serait dommage de gâcher.....hmmm voilà.
Et puis j'espère que ce n'est qu'un au revoir. C'est tellement mieux qu'un pauvre adieu.
Et puis....si tu veux passer sur mon Joueb de temps à autre, pour me filer de tes nouvelles, tu es la bienvenue. Après tout, tu as été une des premières à me lire. Quelle nostalgie.
Bref...
Re:
Re:
Pour ce qui est de ton joueb, évidemment, j'y passerai et repasserai encore de nombreuses fois, as usual, parce que j'aime te lire, vraiment. Comme tu l'as écrit parfois, il y a comme une sorte de télépathie, parfois, entre tes écrits et les miens. Des petits hasards, même heure pour poster, des choses qui se font écho, des sensations... J'avoue que si tu arrêtais à ton tour, ça ferait un truc.
Au fait, j'ai lu ton article chez moi, ce matin. On s'est ratées de peu... J'te réponds bientôt. Ca m'a fait plaisir.
Et puis, non, ça n'est pas un adieu. Peut-être qu'un jour, je réécrirai. Mais sûrement pas tout de suite. Dans longtemps, peut-être. Je ne peux pas dire ; j'ai envie de tenir cette "résolution" de ne plus écrire ici. Pour vivre entièrement autre part. Pour voir ce que ça fait de vivre sans écrire ici.
Je reste dans le coin, de toute manière, comme je le disais à Manzin.
Bisou la Dine.
Un peu tristounette moi parce que j;adore ton ecriture, tes mots tes images... En verite tu es le seul blog que je lis regulierement...
Mais t'as raison, si tu le sens ainsi l'essouflement.
Plein de bonheur pour la feu qui allumait nos imaginaires, et j'espere qe tu auras la vie que tu auras choisie comme tu es, pleine de vitalite, de joie et d'intelligence !
N'empeche tu nous laisses dans un suspence insoutenable !
bisous :)
Re:
Ah oui, c'est vrai qu'on peut penser que ça s'achève au moment où "l'histoire" devenait intéressante... Mais justement, je ne sais pas si j'aurais pu écrire au sujet de Phil et moi, pour ces choses-là, je m'aperçois que je suis beaucoup plus pudique!...
En tout cas, merci de m'avoir suivie avec autant d'enthousiasme!
><
Oh... C'est triste.
En fait, je crois je l'avais sentie venir, mais depuis ta dernière 'pause' tu semblais toute repartie dans le monde des mots et, oui, c'est triste. Terriblement triste.
Mais je crois que cette phrase si vraie de Louise a résonné en beaucoup de nous...
Et tu fais bien de suivre 'ce que ton coeur te dit' (ça fait culcul mais c'est ça...).
Alors sache que ça me fait drôle de savoir que je ne pourrai plus suivre les aventures trépidantes de Feu, narré avec style et élégance. Ecriture si juste, si variée, qui faisait mon bonheur...
C'est comme à la fin d'un roman.
On se sent rassasié, repu et en même temps, cette sorte de fêlure comme tu dis, car les personnages se sont imiscés dans notre existence, qu'ils ont accompagné notre vie ou qu'on a accompagné la leur -je ne sais trop ce qu'il faut dire- un moment, et puis, là, paf, ça s'arrête.
Alors, merci.
Re:
Alors, je comprends la tristesse. Comme je l'ai un peu ressentie lorsque d'autres gens étaient partis, avant moi.
Il est vraiment joli, ton commentaire.
En fait, oui, tu l'avais pressenti, déjà, après les grandes vacances, je m'étais demandé si j'allais cesser d'écrire un jour ici, ou pas... J'avais été tentée, mais c'était plus une lassitude, une émotion pas forcément positive, sur laquelle je ne voulais pas partir. Là, aujourd'hui, je pars sur une vraie décision, associée à un bonheur, donc c'est quelque chose de volontaire, de plutôt positif.
Alors, moi, j'ai pas envie que vous soyez tristes... Et puis, je serai encore là, de toute façon, éparpillant mes petits commentaires ça et là... On ne finit pas de jolies histoires comme ça.
:)
Re:
http://eliath.unblog.fr/
J'reviens. Juste un peu, hein.
Feu
"Si je vais revenir un jour, qui peut dire, je ne voudrais pas vous mentir.
Ca dépendra des grands vent, et des longs courants..."
- William Sheller, "La Navale"
Aléas.
Re:
Il a bien raison, sinon, ce William Sheller...
En attendant, bon vent à toi ! Et fais-nous signe de temps en temps, si le coeur t'en dit.
***
Vendredi
Re:
Mais pour ce qui est de cet endroit, je n'ai pas envie de le fermer. Le fermer serait comme tirer un trait sur le passé, alors que je n'ai pas envie d'effacer tout ça : ces moments, je les ai vécus, et ils vivent encore en moi.
Merci mademoiselle Vendredi!
On dirait que. C'est quand on commence à avoir des (vraies) choses à vivre qu'on n'a plus envie de les raconter.
(putain c'que j'attends ce moment)
Re:
Je crois que c'est plutôt que c'est lorsque le souhait si fort, du point de vue amoureux, se réalise, qu'on n'a plus vraiment envie de l'écrire. De le dire. Plutôt le désir de garder pour soi.
Mais tu sais, ça viendra. Moi aussi, j'ai sacrément attendu. Et ça m'est tombé dessus sans crier gare.
Alors voilà ?
C'est fini. Aussi ? J'ai envie de dire.
Ca fait bizarre et puis... finalement, non, je comprends bien. Cette envie qui passe, s'est estompée, et qui ne revient plus comme avant, qui se fait plus discrète. Si, en fait, ça fait un peu bizarre de se dire que je ne connaitrais pas la suite de toute cette histoire. Et, un peu de nostalgie à te voir partir. Parce que ça faisait... pfff, depuis tes tout début par ici, que je te lisais. Depuis tes résultats du bac. Plus d'un an, beaucoup plus.
Alors je te souhaite un joli bout de chemin avec Phil. Une jolie vie, tout court.
En espérant retrouver quelques nouvelles un peu n'importe où.
:)
J'ai juste une curiosite, je pense pas que tu repndras car tu tournes la page et repondre c'est t'attache encore mais je me demande qu'est que c'est ton prenom car a ce que tu dis il est assez particulier et unique.. Question qui restera sans reponse, masi curiosite quand meme ! ...
Ah oui je te suis depuis du debut parce que kammika= mika= moi...
Gros bisous (encore) a la Feu qui m'a fait partage une vie t'etudiante croquant sa vie et qui s'eteind pour laisser place a la marrionnetiste.
Re:
Merci encore pour ce que tu m'écris ici, kammika! D'ailleurs, heureusement que tu m'as précisé que mika, c'était toi, je ne sais pas si j'aurais fait de moi-même le rapprochement, sinon. Je me demandais où était passée mika... elle n'a pas disparu, finalement!
Ah, mon prénom... A vrai dire, je préfère ne pas le dire ici. Ici, ça restera Feu, encore et toujours. Pareil que pour tous les prénoms d'emprunt de ceux dont j'ai parlé. Pour répondre un tout petit peu à ta question, je dirai que c'est un prénom assez ancien... voir même très, très ancien. Et qui n'est pas français. Voili voilou! :)
Re:
Mais je t'avais comprise, à ce moment-là, d'autant plus que chez moi, aussi, l'envie de partir se faisait déjà un peu sentir.
Et puis, je ne dis pas non plus adieu à tout ça. Je continue à vous lire, et je laisserai mon petit grain de sel, de temps en temps. Y avait juste, surtout ces deux dernières semaines, le besoin de faire une coupure. Pour vivre plus intensément, autre part. Enfin, je pense que tu comprends. :)
En même temps, la vie est ailleurs, c'est vrai, j'en suis aussi persuadée.
Alors bon envol et bonne continuation, ce fut un plaisir de te lire en tout cas ;) ! Bravo d'avoir eu le courage de partir et d'avoir réalisé une de tes cent choses à faire.
A bientot, peut etre, j'espère...
Re:
Mais j'en avais besoin. Partir, pour respirer, et, en fait, "réapprendre" à vivre, sans écrire tout ce que je vivais. Et curieusement, il y a comme une intensité parfois supplémentaire, aux jolis moments, lorsqu'on les vit sans les écrire. Même si parfois, il y a cette peur d'oublier. Alors, on griffonne à la va-vite, post-it souvenir. Mais comme l'on dit certains, lorsque les ennuis reviendront, sans doute aurai-je à nouveau envie d'écrire, comme exutoire... Alors, j'ose espérer que je n'aurai pas envie d'écrire d'ici longtemps!
Non, plus sérieusement, on verra bien. Qui vivra verra...
Donc, oui, à bientôt peut-être!
Tous ces blogs qui se ferment un à un...ça me fait toujours un petit pincement au coeur, je reste "sur ma fin", parce qu'en définitive on lit un peu ces mots comme on savoure un roman.
Tout ça pour dire que j'aimais beaucoup ce que tu écrivais, malgré ma discretion ;)
Bonne continuation, "ailleurs", dans le vrai. Le réel. Le tangible.
Bisous miss, et c'était vraiment un plaisir de te lire :)
Re:
C'est vrai, oui, comme tu le dis, il faut savoir vivre dans le réel, le tangible. Peut-être ne plus écrire momentanément, pour vivre tout entier.
Merci de ton petit passage, d'avoir ressurgi pour laisser tes mots ici! :)
C'est triste. C'est toujours triste, une porte qu'on referme derrière soi pour la dernière fois.
Donc voilà... C'est étrange, parce que tu es dans ceux que je lisais depuis le plus longtemps. Et c'est fini. C'est doublement étrange, parce que même si je ne connais de toi que ce joueb, tes mots sont tellement vivants, tu transparais tellement à travers ce que tu écris, j'ai l'impression de savoir quelle genre de personne tu dois être. Quand je te lis, je te vois parler, te mouvoir. Comme si je t'avais déjà rencontrée.
J'espère que ce n'est qu'un au revoir...
Bon vent.
Re: Re:
Ca doit être dur, de devoir partir comme tu l'as fait, pour ces raisons-là.
Re: Re: Re:
Je continue d'écrire, mais il me faudra du temps avant de pouvoir créer un nouveau blog. Je crois plutôt que je vais en profiter pour faire le grand bond comme toi. Et les mots avec.
Re:
En fait, c'est agréable, de se dire que ce sont des gens comme toi, comme beaucoup de ceux qui sont passés par ici, et ont laissé quelque chose ici, qui m'ont lue. Parce que j'ai la sensation que mes mots ont été entendus, partagés, qu'ils ont vécu, et qu'ils ont aussi peut-être fait vivre quelque chose à d'autres gens que moi.
Ca rend heureux, je crois, de réaliser ça.
Tu es une de celle qui m'a donnée l'envie d'écrire alors ce n'est pas comme toutes les portes scellées.
J'aimerai bien que tu refasse surface de temps à autre...
bonne continuation feu :)
et gros bisous aussi.
Re:
Bien sûr, je ne disparais pas totalement. La preuve, je reviens pour vous répondre... Il ne faut pas que je me laisse tenter, au passage, par le plaisir de taper à nouveau sur mon clavier!... Quelle tentation, que de répondre à ces commentaires!
Comme je le disais plus haut, je continuerai à lire et à commenter ça et là...
Bisou mademoiselle.
Re: Re:
Heureusement que tu ne disparais pas complétement, ça serait un peu.. sec dirons-nous.
Merci de revenir.
Gros bisous!
Re:
Et puis, qui sait après tout, ce n'est pas un trait tiré sur tout ce qui a été écrit, et je ne pers pas mon plaisir d'écrire pour autant...
Un mois plus tard, je prends le train en marche. Le temps de rien et surtout pas de réfléchir en ce moment. Je regrette ce dépârt que je ne soupçonnais pas.Parfois on arrête tellement le temps qu'on l'oublie.
Je pense encore fort à toie t te souhaite bonne route belle Feu :)
Je t'embrasse
Re:
Merci, et bonne route à toi aussi! :)
?
Une belle, fine, et grande blonde, entrapercue dans le bus un matin avec des tongs en cuir tresse des pieds plats et longs orteils ?
Re: ?
...... mes tongs ne sont pas en cuir tressé!
Quelqu'un dans l'ombre
Je suis passé par hasard par chez toi ce soir. J'ai eu une envie soudaine, une envie inexpliquée, une envie réelle je pense. Et je suis tombé sur ce post, ce tout dernier post d'une longue série. Le point final d'un roman, la dernière goûte d'encre de l'encrier. A vrai dire je suis un peu triste que tout soit fini. Bien évidemment à l'heure où j'écris ces quelques mots nous sommes le 13 novembre de l'année 2006, et de l'eau s'est écoulé depuis ton dernier post et mon message, mais je crois que c'est cette distance qui me rend encore plus nostalgique. Triste de ne pas être venu plus tôt peut être.
Je ne sais pas si tu te souviens de moi. Peut être pas. Un jour j'étais tombé sur ton ancien "blog", ton ancien chez toi (sur 20six pour ne pas le citer), et j'étais tombé amoureux de la toute petite phrase que tu y avais laissé, du tout petit rien qui m'avait fait aimer tes mots. Alors je m'étais dis qu'il fallait que je fasse quelque chose pour que je puisse trouver ton nouveau chez toi, et au final j'y étais arrivé. Peut être ne t'en souviens tu pas, mais à vrai ça ne serait pas très important. J'aimerais savoir ce que tu deviens maintenant que tu as arrêté d'écrire (sur le web). Qui sais, peut être t'y es tu remis autre part ?
Alors voilà, ces quelques mots en guise de bonjour, c'est quelques mots en guise d'aurevoir ou mieu d'à bientôt. Je ne sais pas à vrai dire. Tout ce que je sais c'est que tout comme toi, les mots que je mettais en forme finissait par ne plus vivre en moi. J'avais perdus cette passion, elle s'était envolée, où je ne sais pas. Maintenant j'ai l'impression qu'elle revient. D'où ? je ne sais pas. Juste pour te faire comprendre que quelque chose que l'on a aimait faire pendant longtemps, des années parfoirs revient toujours quoi qu'il arrive? Et que j'espère revenir un jour par chez toi, et de nouveau te relire.
Maintenant je crois c'est fini pour mon message. A vrai dire je ne sais pas si tu lira ça un jour. Peut être jamais, ou peut être que si. Peut être fais tu comme moi, de revenir sur les lieux pour voir si rien a bougé, voir si quelqu'un a laissé un message dans la boîte. Si tu lis ces quelques mots en forme de rien (je m'en excuse), j'espères avoir de tes nouvelles, tout simplement.
Re:
Je reviens parfois par ici, histoire de voir si... je ne sais pas, si quelque chose a changé, si on m'a laissé un signe, pour relire parfois quelques aticles, et puis aussi, moins rigolo ça, pour effacer tous ces horribles spams qui inondent ma colonne de droite!...
Pour savoir ce que je deviens, lis ma réponse à Merry... suspens!
A bientôt peut-être.
Re: Quelqu'un dans l'ombre
Moi aussi, je reviens parfois... Ca me manque atrocement, tes mots.
Et j'aimerais réellement savoir que notre Feu est devenue. (?)
Re: Re: Quelqu'un dans l'ombre
Anne, je ne sais pas vraiment qui tu es, il ne me semble pas avoir vu ce nom ici, mais qu'importe! (tiens, d'ailleurs, je me demande soudain si tu n'es pas "Escarmouche", ou "17h17", ou "Nanne"...) Ca me fait plaisir, vraiment.
Je te ferai la même réponse qu'à Kammika... Si tu veux avoir un petit aperçu de ce que je deviens, lis ma réponse à Merry ; réponse qui d'une certaine manière, dans le passage concerné, s'adresse un peu à tout ceux qui passent encore par ici! Feu continue sa route, la plus droite qu'elle peut, mais quand même un peu en zigazag, parce qu'il faut tout de même rigoler de temps en temps, hein... :)
Re: Re: Quelqu'un dans l'ombre
Oui, c'était bien 17h17 :)
Tu vois, ça ne s'oublie pas un endroit comme ça. et toujours ces petites choses au quotidien qui me rappellent ou Feu, ou Vita... même si ce n'étaient "que" des mots...
manzin
Je comprend ton choix, moi aussi en ce moment je suis en panne d'inspiration, c'est un peu parce que aussi je ne fais rien que mon cerveau ne fonctionne pas. Je le vois bien, je fais un article par semaine..
Enfin bon, ma très chère Feu, j'ai eu énormement de plaisir de lire tout ce que tu écrivais ici et je suis maintenant très content de te connaître. Tu peux fermer ici, tu ne fermera plus le lien (même petit le lien) qui nous unis.
Reste toi même, amuses toi quoi que tu fasse, reste curieuse de la vie, construit ta route, dessine ton avenir, en un mot: Sois !
Asta la vista (baby)
;)